BSC Racing

Pour 11 petits points, et malgré deux dernières courses remarquables sur le circuit du Castellet, les deux Loir-et-Chériens sont passés tout près du top 3.

Jonathan et Jérémy Boucher n’ont pu accrocher la troisième place au général qui aurait clôturé leur magnifique saison de façon remarquable pour leur première année au plus haut niveau national. Mais plusieurs facteurs les en ont privés comme nous l’avait confié Jonathan Boucher après la course de Carole. « La présence des Peugeot, père et fils, qui aurait dû faire seulement deux courses puisqu’ils disputaient en parallèle le mondial superbike, en ont finalement fait six. Au niveau de la distribution des points cela a changé la donne. Notre abandon sur l’une des deux manches à Pau-Arnos nous a également coûté des points précieux. Alors rattraper les 19 points que nous comptions sur le duo Le Bail/Leveau était pratiquement impossible. On en a repris pourtant 8, mais le compte n’y était pas. »

Il poursuit. « Reconnaissons toutefois que cet équipage a fait un très beau championnat et il méritait cette troisième après avoir connu comme nous un abandon. C’est notre début de saison où nous étions en apprentissage sur notre 600 cm3, qui nous a pénalisés. Mais on a pris du plaisir à chaque week-end et surtout on a toujours progressé. On aurait signé au départ si on nous avait dit que nous terminerions quatrième au général. On a montré après notre titre conquis en 1000 promosport l’an passé, que nous avions notre carte à jouer au plus haut niveau français. On est bien sûr ravis d’avoir vécu tout ça avec nos fidèles partenaires et toute notre famille ».

Pour la dernière donne de ce championnat de France Superbike nos deux compères se sont encore remarquablement comportés sur le tracé varois qu’ils découvraient. Après les essais du samedi matin, sur une piste humide avec des pneus pluie usés, les deux Loir-et-Chériens ont surtout cherché à se familiariser avec la piste et à prendre leurs marques en vue de la première course de l’après-midi où ils se sont élancés en 5e ligne. « De la 11e position, nous avons effectué une remontée fantastique en grignotant place par place. Après une belle bagarre avec Palacœur/Cescutti, on a réussi à prendre la quatrième place pour moins d’une seconde. Les trois premiers étaient d’un autre niveau, mais avec la satisfaction sur notre meilleur tour en course, d’avoir réalisé un chrono de 1’ 37”5, seulement supérieur de 2’’ sur le troisième équipage composé de Wyssen/Salmon. On peut être fiers d’être aussi près de tels pilotes ».

Sur la seconde course disputée le dimanche, les frères Boucher se sont élancés cette fois-ci en 7e position sur la grille. « On a commencé à rouler très fort, poursuit Jonathan, mais on a longtemps été bloqués derrière le side de Barbier/Rigondeau. On a réussi à les passer au frein et comme la veille on s’est retrouvés à la lutte pour la 4e place avec Palacœur/Cescutti. Mais ce sont eux qui ont eu le dernier mot. On a beaucoup appris et nous reviendrons encore plus motivés l’année prochaine ».

Classement général

1. Perillat/Kotchan, 258 pts ; 2. Peugeot/Peugeot, 249 ; 3. Le Bail/Leveau, 166 ; 4. Jo. Boucher/Jé. Boucher, 155 ; 5. Jacquemmoz/Enjalbert, 138, etc.         

Lors de l’avant-dernière manche du championnat de France superbike de side-car, qui s’est déroulée sur le circuit Carole en région parisienne, les frangins Jérémy et Jonathan Boucher ont une fois de plus tenu leur rang dans la cour des grands, au milieu d’équipages expérimentés comme Peugeot père et fils ou Wyssen/Salmon, lesquels font partie du top 6 mondial, sans oublier Perillat/Kotchan, leaders du général.

« On a décroché notre deuxième podium de la saison, racontent les Blésois. C’est encore un week-end parfait car les principaux ténors étaient là, ce qui bonifie notre résultat lors de la course du samedi. Alors que nous étions en bagarre avec le side de Wyssen et Salmon, ils ont fait un tête-à-queue à six tours de l’arrivée, ce qui nous a permis de prendre la troisième place et nous avons ensuite résisté jusqu’au drapeau à damiers. »

Les deux Blésois ont terminé derrière l’intouchable famille Peugeot, mais à moins de quatre secondes de Perillat/Kotchan. Et, cerise sur le gâteau, pour deux dixièmes de seconde, ils ont amélioré leur meilleur tour en course sur ce circuit (1’ 07”424), le précédent ayant été établi sur une 1.000 cm3.

Le lendemain, après une séance de qualification réussie, c’est encore en 4e position qu’ils s’élancèrent. « Chacun a fait sa course sans qu’il y ait vraiment de bagarre. Dans ces conditions, à la régulière, il était difficile pour nous de rééditer ce que nous avions fait la veille. On termine au pied du podium mais on marque 29 points points en tout, contre 20 à la paire Le Bail/Leveau, qui occupe le troisième rang au général. »

Il faut se rendre à l’évidence. Lors de la dernière manche au Castellet, il sera difficile de déloger les actuels troisièmes qui comptent 19 points d’avance. « À la régulière, ce sera difficile. C’est sans doute à Pau-Arnos, après notre abandon sur une des deux manches, que nous avons perdu des points précieux. Mais il n’y a rien d’illogique à ce qu’ils soient devant nous. C’est la présence des Peugeot qui a changé la donne. Ils ne devaient être là que sur deux courses et finalement ils en feront six. Mais leur présence tire tout le monde vers le haut et nous en avons besoin. Cela dit, c’est toujours jouable même si on sera plus dans la découverte du Paul-Ricard. Nous ferons tout pour tirer notre épingle du jeu, avec le soutien de notre famille, pour boucler cette magnifique saison de la plus belle des façons. »

 Classement général : 1. Perillat/Kotchan 222 points ; 2 ; Peugeot/Peugeot 197 pts ; 3. Le Bail/Leveau 150 pts ; 4. Boucher/Boucher 131 pts ; ; 5. Jacquemmoz/Enjalbert 120 pts.  

C’est un week-end faste que les frangins Boucher ont connu sur le circuit de Magny-Cours. Et pourtant on pouvait avoir quelques craintes après leur abandon sur la deuxième course à Pau-Arnos sur casse moteur, après avoir connu la joie d’un premier podium lors de la première course. « Les chronos réalisés lors des essais libres, loin de ceux de nos concurrents directs, s’expliquent par le fait que nous avons profité de ces essais pour roder notre nouveau bloc-moteur, explique Jonathan. Mais on a très vite pris du plaisir sur ce tracé génial où il y a de tout. De longues lignes droites, des épingles. C’est génial. »

Et on s’en est vite rendu compte après les premiers essais qualificatifs du samedi où ils s’élancèrent en 6e position. Une première manche qui aura été dominée par les Peugeot, père et fils, qui disputent parallèlement le championnat du monde de side-car. Évidemment lorsqu’ils participent à certaines courses du championnat français, ils sont quasiment intouchables. « C’est un équipage que nous allons retrouver régulièrement. C’est donc à nous de progresser et rouler plus vite si l’on veut être à leur niveau. Mais c’est bien. C’est une motivation supplémentaire. »

Sur la première course, les deux Loir-et-Chériens sont montés en puissance pour finir à la 5e place avec un meilleur tour réalisé en 1’55’’541, et surtout ils ont repris de précieux points aux duos Le Bail - Leveau et Palacœur - Cescutti avec qui ils sont en bagarre pour la troisième place au général. « Si nous avons été réguliers, Ils nous restent cependant un cap à franchir pour se rapprocher des tout meilleurs en termes de chronos. »

Le lendemain matin, avant de courir la seconde manche, les essais ont rapidement tourné court, de l’huile ayant été détectée sur la piste. Les frères Boucher se sont donc élancés en 7e position. « On était dans le coup et on s’est même retrouvés un moment en 3e position. L’empoignade avec Vinet - Vinet, Barbier - Rigondeau et Palacœur - Cescutti a été belle et l’on termine au pied du podium. C’est tout de même un week-end intéressant puisque l’on reprend 16 points au binôme Le Bail - Leveau, actuel troisième au général. Il reste deux étapes à disputer, Carole au mois d’août et Le Castellet fin septembre, sur un circuit que nous allons également découvrir. Mais il n’y a pas de raison que cela ne se passe pas bien. On voulait faire un top 6 ou 7 et atteindre les 140 points au général avant que le championnat débute. On est actuellement 5e avec 102 points. Il reste quatre courses et de nombreux points encore à attribuer. A nous d’en prendre le maximum pour atteindre notre objectif. Mais d’ores et déjà notre saison est réussie. »

Les deux Blésois vont donc pouvoir profiter d’un peu de vacances avant d’entamer la dernière ligne droite qui s’annonce passionnante.

1re course : 1. Peugeot - Peugeot ; 2. Perillat - Kotchan ; 3. Barbier - Rigondeau ; 5. J. Boucher - J. Boucher.
2e course : 1. Peugeot - Peugeot ; 2. Perillat - Kotchan ; 3. Vinet - Vinet ; 4. J. Boucher - J. Boucher.
Classement général provisoire : 1. Perillat - Kotchan (182 pts) ; 3. Peugeot - Peugeot (145 pts) ; 3. Le Bail - Leveau (130 pts) ; 4. Palacœur - Cescutti (111 pts) ; 5. J. Boucher - J. Boucher (102 pts).

Classés 7e au général après la première étape de ce championnat de France de Superbike qui s’était courue au Mans, 5e après la seconde à Nogaro, 4e au terme de la 3e qui vient d’avoir lieu sur le difficile tracé de Ledénon dans le Gard, les frères Boucher, en prenant 22 points, se rapprochent petit à petit du podium et confirment à chaque sortie. « Ce week-end s’est encore bien passé. Il reste quatre courses maintenant avec de nombreux points à distribuer et notre objectif sera de rester dans le top 5. Un beau challenge que l’on souhaite relever. »

Les essais confirmaient déjà les bonnes dispositions des deux Blésois puisque sur la première séance, leurs chronos étaient proches des tous meilleurs avec le 5e temps de ces qualifications. De quoi donner de la confiance avant que ne débute la course 1. Longtemps troisièmes, devant des équipages aussi expérimentés que Perillat/Kotchan et Le Bail/Leveau, ils cédaient seulement dans les derniers tours, ratant le podium de fort peu.

Un podium qu’ils auraient pu obtenir aussi sur la seconde course le lendemain. « Alors que nous occupions la troisième place, prévient Jérémy, j’ai commis une petite erreur de pilotage qui a fait sortir Jonathan de la planche, sous la pression de l’équipage composé de Le Bail/Leveau qui sont loin d’être des novices et avec qui nous étions en bagarre depuis 7 tours. Cela nous a fait perdre une bonne petite quinzaine de secondes et sans doute notre premier podium en Superbike. Ce genre d’erreur fait partie du jeu et ça nous permet d’avancer. C’est hyper encourageant pour la suite de cette saison car nous avions beaucoup d’appréhension à nos débuts en 600. Mais notre année de promosport nous a apporté énormément. On a aujourd’hui une petite longueur d’avance sur notre évolution. »

Nos deux Loir-et-Chériens ont maintenant le regard fixé sur la prochaine manche qui se déroulera sur le circuit de Pau-Arnos du 17 au 19 juin prochain. « C’est un tracé que l’on connaît bien pour y avoir couru déjà deux fois. L’année passée, en promosport, on avait réussi de très bons chronos. On cherchera donc à faire aussi bien, voir mieux, pour viser la 3e place synonyme de podium. »

Classements : 1re course : 1er Peugeot T/Peugeot V, 14 Tours en 21’15’’345 ; 2e Vinet C/Vinet C, 21’50’’897 ; 3e Perillat/Kotchan, 21’57’’813 ; 4e Le Bail/Leveau, 22’02’’195 ; 5e J Boucher/J Boucher 33’02’’233. 2e course : 1er Peugeot T/Peugeot V, 16 tours en 24’42’’277 ; 2e Vinet C/Vinet C, 24’47’’259 ; 3e Le bail/Leveau, 25’13’’505, 4e Berthe/Vasseur, 25’27’’047 ; 5e J Boucher/J Boucher, 25’31’’444. Général : 1er Peugeot T/Peugeot V 93 pts ; 2e Perillat/Kotchan 90 pts ; 3e Le Bail/Leveau 86 pts ; 4e J Boucher/J Boucher 65 pts.

Entrés par la grande porte dans la cour des grands lors de la première étape du championnat de France superbike de side-car – ils ont terminé 7es au Mans – les frères Boucher sont encore montés dans les tours à Nogaro. Ils ont en effet pris la 5e place au scratch le samedi (la 4e en 600 cm3) et la 4e le lendemain. Les voilà désormais 5es au classement général avec 43 points, à seulement 8 points du podium.

« On est très contents de notre week-end, raconte Jonathan Boucher, et surtout on sent que l’on progresse à chaque sortie. Sur un circuit que l’on connaît très bien, on avait plus de prédispositions qu’au Mans, même si c’était la première fois que l’on roulait sur cette anneau en 600. » Cela s’est concrétisé dès le samedi en course, après des essais prometteurs où l’équipage blésois tournait régulièrement en 1’39’’600. « On a roulé en paquet avec quatre autres concurrents sur l’ensemble des 14 tours, un fait nouveau pour nous, mais extrêmement enrichissant et passionnant car nous roulions tous dans les mêmes temps. On s’est rendu compte que nous avions les moyens de faire progresser encore notre side. On va le passer au banc de puissance pour des cartographies appropriées en fonction de la configuration des circuits à venir. »
Dimanche, après deux séances de qualification sur une piste froide en vue de la course 2 et avec des chronos vraiment intéressants, les frères Boucher pouvaient espérer améliorer leurs temps de la veille. Mais alors que tous les pilotes, comme le règlement l’impose, étaient en parc fermé 20 minutes avant le départ, une violente averse allait faire son apparition. « Nous étions tous en pneus slicks avant que la direction de course nous autorise à retourner dans les stands pour changer de gomme. Après réflexion, on a fait un pari osé : installer des pluies à l’avant ainsi que sur le panier et rester en slick à l’arrière. Une stratégie payante puisque l’on a signé le meilleur tour en course en 1’54’’783, soit 3’’ de mieux que le vainqueur de cette manche sur une piste séchante. Il aurait fallu prendre davantage de risques sur la fin et ne pas attendre le dernier tour car on échoue à six dixièmes du podium. Mais on souhaitait assurer les points. »

Idéalement placés au général, Jonathan et Jérémy Boucher peuvent donc envisager la suite avec plus de certitudes. « Notre adaptation s’est faite plus rapidement que prévu. Après ces deux premiers résultats, on a pris de la confiance et on s’aperçoit que nous sommes loin d’être ridicules. La suite s’annonce donc très ouverte. Il reste cinq week-ends et nous avons toutes nos chances de figurer sur le podium. »
1re course : 1. Perillat/Kotchan ; 2. Léglise/Farnier (F2) ; 3. S. Gadet/T. Gadet , 5. J. Boucher/J. Boucher. 2e course : 1. Le Bail/Leveau ; 2. Berthe/Vasseur ; 3. Barbier/Rigondeau ; 4. J. Boucher/J. Boucher. Classement général : 1. Perillat/Kotchan (67 pts) ; 2. Le Bail/Leveau (57 pts) ; 3. Reeves/Rousseau ;4. Barbier/Rigondeau (48 pts) ; 5. J. Boucher/J. Boucher (43 pts).

Que dire de notre première épreuve en FSBK : …. Pioufffff

QUALIF 1 = P11 RACE 1 = P5

QUALIF 2 = P10 RACE2 = P9

Le début de notre apprentissage en F600 a été un peu ralenti par des rotules "trop neuves" à la première séance d’essais libre.

« Faut les libérer en tapant dessus nous a dit Mr Perillat »

Bahh au prix des rotules ! Tu n’as pas vraiment envie de leur taper la tronche avec ton plus gros marteau. et pourtant !!

C’est en tapant qu’on devient sidecariste…

Bref souci réglé la deuxième séance se déroule bien mieux. Les chronos tombent et nous commençons à ajuster les réglages afin de coller au mieux à ce tracé assez compliqué.

Magnifique début de saison pour le team BSC Racing... Nous en rêvions, nous y étions.

Et oui. Prendre le départ de notre première course en fsbk sur le circuit Bugatti. Entourés des équipages que nous suivons avec attention depuis plus de 10 ans.

Barbier/Rigondeau Le Bail/ Leveau Vinet/ Vinet Leblond/Carre Gallerne/Barbier et devant les équipages pour le moment intouchables que sont Reeves/Rousseau Peugeot/Peugeot Payne/Wilkes Leglise/Farnier et Perillat/Kotchan.

A rajouter a ça, le public dans les gradins !! Moment magique et souvenirs inoubliables.

Maintenant vient le moment d’ouvrir le nouveau carnet de notes F600 et de le remplir afin de trouver les réglages optimums pour notre nouvelle monture et d’affiner la technique de conduite et les mouvements du pass. Pour profiter au maximum de cette saison de découverte en fsbk.

Encore un grand merci à l'equipe Perillatmotorsport and classic pour les conseils mécaniques et de pilotage offerts tout au long de ce weekend.

Rdv maintenant sur le circuit de Nogaro pour la deuxième épreuve de ce championnat FSBK le 07 et 08 Mai.

Un grand merci à notre équipe présente ce weekend qui ont encore assuré comme des chefs !!

Merci à nos partenaires d’être présent pour l’aventure 2022 :

Société de Peinture Blésoise S.P.B

Envie2rouler

Yacco

Groupe Goyer

4NRJ

DISCOUNT AUTO PIECES

Studio de la Beauté

S.I.M Société Industrielle de Montoire

Carrosserie 2C Design

Blois Atelier Mécanique

CSL Diffusion

Mécacyl International (Officiel)

Moto-club Fleur de Lys

Mike Capon's Shock Factory

3 Wheeling

Les frangins Boucher, Jérémy et Jonathan, pourraient passer pour des p'tits nouveaux au Moto-Club avec leur première année de licence chez nous... Au détail près qu'ils ont usé leurs couche-culottes avec le Présipote, en compagnie également de l'autre side-cariste de la bande, Benjamin Luneau !!!

Cette année, "les p'tits Bouchers" s'attaquent au championnat de France side-car sur leur magnifique LCR tricolore, et on doit dire que les débuts sont... JUSTE PARFAITS !!!

Pôle, record du tour, 4 victoires en 4 courses, c'est un début de saison parfait pour les Blésois ! La suite en photo, en attendant d'aller les voir rouler en vrai très bientôt !!!